tecktonik
voici quelque photo et voila des photo de jey-jey il est beau goss non?
Popularisée par le Net et les médias, une nouvelle danse est née: la tecktonik. Un phénomène made in France, sur fond de techno. Décryptage de cette tendance interdite aux plus de 25 ans !
Depuis un an, les films amateurs des danseurs tecktonik défilent sur le Net. Sur les sites gratuits de vidéos comme You Tube ou Dailymotion, qui organisent même des concours, on peut y voir les chorégraphies un peu désarticulées de JEY JEY, NEMO, CALIMERO…..pseudos de danseurs tecktonik. Le principe de la << TCK>>, nom de code pour les initiés, consiste à enchaîner très rapidement avec ses bras figures géométriques et moulinets, au rythme de musique techno et électroniques. Des mouvements empruntés notamment au voguing des années 90 et au breakdance des danseurs de hip-hop.
Alexandre Barouzdin et Cyril Blanc sont à l'origine de cette danse made in France. Il y a sept ans, ils importent de Belgique des soirées techno dans l'immense boîte de nuit de la région parisienne, le MÉTROPOLIS, ou' ils travaillent .Pour donner un nom à ce nouveau concept, ils pensent à la techtonique des plaques qui s'entrechoquent .Comme cette rencontre entre deux sons: la techno très hardcore du nord( venue de Belgique et de Hollande) et sa danse, le jumpstyle ( ou' l'on saute sur place sur un pied, puis sur l'autre) et la techno plus festive du sud (venue d'Italie) .Reste à trouver un emblème, un aigle aux ailes déployées, symbole de force, et le mouvement est lancé. Ils créent alors soirées, compils de musique ,lignes de vêtements, boissons énergétiques grâce à leur sociètè ,Tecktonik Events. Les premiers adeptes, des jeunes Parisiens, dansent et s'entraînent rue de Rivoli et sur les parvis de la Défense et du Trocadéro. Des battles (défis) à deux danseurs, chacun accompagné pas son team( mixte ou uniquement filles ou garçons), sont organisées dans les boîtes de nuit Redlight, Mix et Métropolis. Au public d'élire le vainqueur à l'applaudimètre.
Outre les chorégraphies, la tecktonik s'accompagne souvent d'un look très travaillé, inspiré des punks et des années 80: petite crête de rigueur pour les garçons, chevaux colorés et franges pour les filles, mitaines fluo ou noirs au poignet, et slim, sans oublier quelques piercings.
Tecktonik » est le nom raccourci des soirées clubbing Tecktonik Killer, proposées par la discothèque le Metropolis à Rungis près de Paris, lors desquelles on peut écouter du hardstyle.
Cyril Blanc, un des dépositaires de la marque, explique dans un reportage de TF1 du 14 septembre 2007 que le nom est un jeu de mots avec la théorie géologique de la tectonique des plaques.[3]
Les soirées Tecktonik Killer ont été organisées en 2002 par Cyril Blanc et Alexandre Barouzdin (membres de l'équipe artistique du Metropolis) dans le cadre de leur projet, "Tecktonik Events", et dont le but était de promouvoir en France deux styles musicaux issus de Belgique et des Pays-Bas : le hardstyle et le jumpstyle. Ce projet prévoyait, pour le Metropolis, la création de trois types de soirées où devaient se réunir des Disc Jockey du domaine du hardstyle : les soirées Blackout, les soirées Electro Rocker et les soirées Tecktonik Killer.
Cette mode a donné lieu à de nombreuses erreurs et idées reçues à son sujet : en effet, tecktonik ne désigne pas un style de musique électronique mais désigne certaines soirées du club Metropolis, la danse qui y est pratiquée, les compilations produites sur la base de ces soirées, une marque vestimentaire, une boisson, et le phénomène de popularisation de tout ce qui précède par le biais de rassemblements dans la rue et de vidéos disponibles sur internet. [4]
Il existe plusieurs polémiques :